Não se trata do jejum e da abstinência característicos do tempo que, para alguns, se inicia hoje. É mesmo por manifesta falta de ... As senhoras de sábado de manhã, com a sua indomável vontade de aparecer, cá estarão!
Até breve :)))
Toi qui marches dans le vent,
Seul dans la trop grande ville,
Avec le cafard tranquille,
Du passant
Toi qu'elle a laissé tomber
Pour courir vers d'autres lunes,
Pour courir d'autres fortunes,
L'important…
L'important,
c'est la rose,
l'important,
c'est la rose,
l'important,
c'est la rose,
crois-moi…
Toi qui cherches quelque argent
Pour te boucler la semaine,
Dans la ville, tu promènes
Ton ballant,
Cascadeur, soleil couchant,
Tu passes devant les banques,
Si tu n'es qu'un saltimbanque,
L'important…
Toi, petit, que tes parents
Ont laissé seul sur la terre
Petit oiseau sans lumière
Sans printemps
Dans ta veste de drap blanc
Il fait froid comme en Bohème
T'as le coeur comme en carême
Et pourtant…
Toi pour qui, donnant donnant,
J'ai chanté ces quelques lignes,
Comme pour te faire un signe
En passant
Dis à ton tour maintenant
Que la vie n'a d'importance
Que pour une fleur qui danse
Sur le temps
Independentemente do resultado do jogo de hoje, o tempo lá está tão gelado que me parece bem mandar saudações calorosas às papoilinhas saltitantes que por aqui passam.
Hoje o que eu queria mesmo era que os "marretas" que comandam a europa, em particular aqueles dois mais atrevidotes, tivessem um lampejo, uma luz bruxuleante que lhes iluminasse as excelentíssimas bentas (desculpem o sotaque do Porto).
Georges Brassens, les amoureux des bancs publiques
Les gens qui voient de travers
Pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité
Car à la vérité
Ils sont là c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Ils se tiennent par la main
Parlent du lendemain
Du papier bleu d'azur
Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
Ils se voient déjà doucement
Ell' cousant, lui fumant
Dans un bien-être sûr
Et choisissent les prénoms de leur premier bébé
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand la saint' famill' machin
Croise sur son chemin
Deux de ces malappris
Ell' leur décoche hardiment des propos venimeux
N'empêch' que tout' la famille
Le pèr', la mèr', la fille
Le fils, le Saint Esprit
Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand les mois auront passé
Quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus
Qu' c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Estou à espera que venham os apressadinhos muito entendidos discutir a violência no desporto a propósito do massacre de Port Said sem suspeitarem de que, nestes casos, o desporto em geral, e o futebol em particular, se limitam a ser uma enorme lente de aumento sobre a sociedade, que nos permite vê-la sem subterfúgios, falinhas mansas ou fugas para o lado. Entre o agon do futebol e esta agonia social está um mundo de cultura e civilização.
Eu sei que são instâncias e níveis diferentes mas... Há qualquer coisa que não bate certo no entendimento e na organização da nossa sociedade quando se assiste a este tipo de coisas. É espreitar aqui e aqui. A conclusão é de cada um.